Jack Arnold | 1957, USA, 81 minutes | mis en son par Static Records

Après s’être fait doucher de pesticides par mégarde, Scott Carey décide de prendre une barque pour jouer à Vasco de Gama aux travers d’un mystérieux brouillard radioactif. l’addition de ces deux événements totalement anodins (voire normaux) n’aura d’autre répercussion sur scott qu’un rétrécissement physique constant et irrémédiable.

Quelques années plus tard et après avoir évolué dans les boums- boums incessants de l’industrie à montres du canton de neuchâtel, les humanoïdes-bidouilleurs de Static Records décident de s’armer de leurs machines à sons pour s’attaquer à la resonorisation en direct et mixée en 5.1 de «the incredible shrinking man».

Lorsque l’homme qui rétrécit rencontre le label qui grandit, c’est un nouveau ciné-concert de qualité qui se profile pour la soire?e d’ouverture de cette quinzième édition.